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Le cosmos est un réseau flottant et enchevêtré d’énergies et de masses regroupées dans des relativités spatio-temporelles. De nombreuses dynamiques et processus au sein de ces systèmes d’ondes/particules – des microparticules (quarks, atomes, molécules) aux macroparticules (planètes, systèmes solaires, galaxies, superamas) – partagent des similitudes entre eux, ainsi qu’avec des processus vitaux tels que l’auto-assemblage, calcul, rêve et neurophysiologie.
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INTERCONNEXION – Les atomes, les molécules, les systèmes solaires et les galaxies sont à plus de 99,99% d’espace vide – un espace qui n’est délimité par aucune barrière ou membrane. Le vide imprègne et enveloppe chaque unité d’espace-temps, et toutes ses parties constituantes à chaque échelle. Avec toutes les choses si imprégnées par le même, un seul vide, et sans mécanisme pour en enfermer aucune région, tout et tout le monde est littéralement, physiquement interconnecté par le vide.
PRODUCTION DE QUARKS
Les noyaux atomiques sont constitués de protons et de neutrons qui sont constitués et entretenus par des quarks. Alors qu’un atome peut durer des milliards d’années, les quarks observés durent moins d’une nanoseconde. Avec toutes les choses constituées d’atomes, nous pouvons imaginer un substrat imprégnant ces atomes – une matrice éthérée à partir de laquelle des flux constants et des bandes de quarks émergent rapidement pour reconstituer et maintenir chaque atome tout au long de son existence.
Comme les organismes remplacent naturellement les cellules individuelles qui les composent tout au long de leur vie, mais restent le même organisme, un atome reste également le même atome, même si ses quarks constitutifs sont constamment remplacés, dans ce scénario de flux de quarks omniprésent.
TROUS NOIRS – UNE THÉORIE Les masses denses, contenant plus d’atomes rapprochés, nécessitent des flux de quarks plus nombreux et plus rapides pour les maintenir. Lorsque de nombreux objets denses et volumineux se rassemblent dans une région de l’espace-temps, la capacité de la matrice sous-jacente à maintenir la production de quarks pour soutenir ces atomes peut devenir tendue. Dans les cas extrêmes de haute densité, la capacité de la matrice peut être dépassée, provoquant une panne du système. Les quarks cessent d’être créés, les atomes ne sont donc plus instanciés et un trou noir commence.
La Cinquième Dimension, en tant que coordonnée, pourrait être la Durée. Pour localiser un objet dans l’espace et dans le temps, on décrit non seulement où et quand il se produit, mais aussi pendant combien de temps il est là. La hauteur, la largeur et la profondeur décrivent l’emplacement et le volume d’un objet, tandis que le temps et la durée décrivent sa durée de vie et le moment où cette durée s’est produite. Avec ces cinq coordonnées, le reste est une question de taille.

Les vibrations de pression vers l’extérieur et les énergies des micro et macro particules, telles que la chaleur, le son, le rayonnement UV et les forces centrifuges, empêchent les unités de s’effondrer dans leurs noyaux. Ces forces de flottaison s’équilibrent non seulement contre l’aspiration vers l’intérieur de la gravité, mais aussi contre la pression de vide contraignante sur chaque unité par le vide qui l’enveloppe. Les mesures de la gravité ignorent la pression de vide omniprésente qui enveloppe chaque relativité.

Le vide qui enveloppe chaque unité d’espace-temps façonne et contraint ces unités en place le long de leurs trajectoires et de leurs orbites. L’espace vide autour de la Terre, par exemple, verrouille les objets terrestres au sol, comme de fortes vagues océaniques repoussant un bateau vers une île. Une certaine vitesse de fuite est nécessaire pour se lancer à travers cette contrainte de verrouillage et entrer dans l’espace, tout comme un bateau doit sprinter avec force depuis une petite île pour se lancer dans la mer, après quoi il peut naviguer librement. L’emprise du vide sur tout est, sur cette page, un candidat pour
matière noire.
Une théorie des origines cosmiques presque conforme à la première loi de la thermodynamique pourrait commencer par un petit éclair d’énergie – une impulsion éthérée rapide dans le vide. Après un temps long ou court, il a de nouveau pulsé, et encore jusqu’à ce qu’un autre petit éclair d’énergie se produise à proximité, et ils ont pulsé ensemble. Finalement, d’autres bips se sont joints jusqu’à ce qu’ils forment une région de pulsation turbulente. L’énergie de plus en plus de blips bouillonnait, s’étendait et cascadait à travers le vide dans toutes les directions. Le système est devenu si vaste et frénétique que, alors qu’il montait en ballon, l’enveloppe extérieure de rayonnement gamma ou pré-gamma a éclaté dans l’espace, tandis que le noyau était entravé et contraint. Le noyau est devenu piégé, goulot d’étranglement, de sorte que les éléments qu’il contient ont changé d’état, se congelant à partir d’impulsions de simple énergie ou de turbulence en un plasma de quarks-gluons plus particulaire, toujours en expansion dans le cadre du Big Bang.
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